samedi 1 avril 2017

LE XXII° CONGRÈS DU CFTB VU DE L'INTÉRIEUR




Amis lecteurs, bonjour !


Non, je n'avais pas abandonné le blog des tire-bouchons, mais...

C'était le XXII° congrès du CFTB à Metz !



Metz royale et impériale : les monuments, la pierre de Jaumont, le Graoully...




L'organisation de ce congrès nous a mobilisés à temps plein.
L'aventure avait commencé il y a un an.
Les organisateurs volontaires étaient connus : Michelle et Jean-Paul, Eliane et moi.
Metz avait été choisie, douze ans après Nancy.
La Lorraine, encore une fois, devait offrir le meilleur accueil possible : nous nous y sommes efforcés.



De gauche à droite : Eliane, Jean-Paul, Marc et Michelle, 
les organisateurs du Congrès de Metz


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Organiser un congrès, c'est :
- trouver les lieux de réunion et d'hébergement, 
- discuter le niveau des prestations, choisir les plats et les vins... 
- construire un programme, prévoir une exposition, proposer des contenus à la hauteur d'un congrès, 
- mais aussi retenir les animations pour la partie conviviale, 
- trouver et personnaliser les souvenirs qu'emporteront les congressistes...
- inscrire toutes les dépenses dans un budget que nous voulions très maîtrisé, 
- écrire, écrire : des courriers aux prestataires, des documents de présentation, des formulaires d'inscription, des plans, des menus illustrés, des questionnaires de jeu...
prévoir un avant-congrès pour les gens venus de loin et déjà présents le vendredi et un après-congrès pour ceux qui souhaiteraient prolonger leur séjour,
- gérer les relations publiques et les médias...
... la liste des tâches n'est pas exhaustive !


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Organiser un congrès, c'est encore construire un projet en équipe, partager une aventure amicale entre organisateurs, surmonter ensemble stress et obstacles, respecter un timing pour livrer à la fin un temps fort aux membres de notre club.

Petite note personnelle, l'affaire fut un peu compliquée pour moi, je cumulais : coorganiser le congrès, présider, animer les instances du club, publier à temps "l'Extracteur", travailler à une conférence-débat... mais aussi rendre les invitations reçues et recevoir chez soi.


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Le congrès finit par arriver.

Tous les inscrits ou presque sont là au rendez-vous. Nos pensées vont à ceux qui se sont excusés lors des inscriptions, à ceux qui, empêchés par des problèmes de santé, ont dû se décommander en dernière minute.

La météo est au beau fixe : nous n'y sommes pour rien, mais nous apprécions notre chance !
La ville est belle, les lieux se prêtent bien, l'accueil est de qualité, le Maire de Metz vient saluer le congrès... les congressistes ont le sourire. 
Le rythme est intense : les échanges, les présentations de belles pièces, les communications succèdent aux réunions statutaires.
L'exposition intéresse qui rassemble les plus rares tire-bouchons à hélice.



Les tire-bouchons à hélice.


La partie conviviale est assurée avec brio par l'équipe du Cercle, pour le plus grand plaisir des officiers membres du club.



Dîner de gala, salon Napoléon.


Menus et vins font des clins d’œil aux productions lorraines, un quizz permet de parler culture locale tandis qu'Eno - notre caricaturiste Graoully - "croque" avec gourmandise chaque congressiste.

A Metz, le Graoully, monstre symbolisant le paganisme pré-chrétien, dévorait les habitants avant que le premier évêque ne les en débarrasse. 



Jean-Paul et Marc croqués par Eno, Graoully officiel du congrès



Les souvenirs du congrès : 




le tire-bouchon breveté Brucart de Pulltex, gravé XXII° CONGRES CFTB METZ 2017 et le mug, très hélixophile, et chargé de bonbons à la mirabelle de Lorraine, sont déjà "collectors" !


Surtout, chacun rentrera riche de nouvelles amitiés, de nouveaux savoirs et de quelques nouveaux tire-bouchons !


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Dimanche après-midi, le congrès se termine...

Beaucoup de congressistes repartent chez eux, pris par leurs obligations.
Quelques-uns font le choix de rester plus longtemps.
Une balade en forêt leur est proposée : ils en reviennent avec des morilles !



Inattendues morilles !


Un tiers des congressistes, souvent venus de loin, participent encore le lundi à une journée organisée à l'occasion de la commémoration du centième anniversaire de la bataille de Verdun.



L'Ossuaire de Douaumont, mais aussi le Fort de Vaux, 
le village martyr de Fleury, la citadelle souterraine de Verdun...


Sur la route du retour, après le temps de l'émotion et de la gravité, revient celui du plaisir avec la visite - dégustation au Domaine de Muzy.



Regard sur les mirabelliers et vignes 
du Domaine de Muzy, fournisseur de l'Elysée


Les derniers congressistes, ceux qui en ont le loisir, nous offrent leur amitié pour atténuer la sensation de vide qui s'installe...



Pour atténuer la sensation de vide qui s'installe...




Et puis la maison se vide, le congrès est vraiment terminé.
Tout n'a sûrement pas été parfait, mais nous avons fait de notre mieux !


On recommence dans douze ans, Jean-Paul ?



M



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