Amis lecteurs chineurs, bonjour !
Retrouvailles avec la Belgique et Arlon ce dimanche !
De très belles puces mensuelles et de qualité que nous avons retrouvées sous le soleil de ce début juin.
Belles puces où nous avions emmené l'an passé une dizaine de membres du Club Français du Tire-Bouchon.
Des puces qui se méritent : il nous faut nous lever très tôt et rouler pendant une heure, mais le plaisir est toujours au rendez-vous.
Chaque premier dimanche du mois en effet, sauf en hiver, quelques 250 brocanteurs habitués envahissent le vieil Arlon, les abords de l’église Saint-Donat, la Grand-Place et celle des Chasseurs Ardennais, la ville basse et les rues piétonnes.
Cette fois, il y avait en plus le renfort d'exposants venus de loin, de Waterloo en fait (quel drôle de nom, n'est-ce-pas ?), où les puces traditionnellement organisées sur le parking d'un grand magasin ne peuvent plus avoir lieu pour cause de travaux.
Et c'est ce qui m'a fait rencontrer Charles, fournisseur bien connu de Bernard et Luc, nos amis Belges. Je ne répéterai pas ici tout ce qu'il m'a dit de la rouerie des hélixophiles...
Mais j'ai surtout le regret de m'être fait devancer de quelques poignées de secondes sur son stand par un autre collectionneur (il y en avait au moins trois en plus de moi) : le vendeur m'a dit lui avoir vendu un modèle hors du commun, "à cloche de bronze et poignée d'os comprenant une lame de couteau"... description trop sommaire pour une identification !
Toute la brocante bruissait de cette belle vente.
D'autres marchands proposant des tire-bouchons étaient là aussi : un second Belge, un Allemand, deux Français, et d'autres peut-être que je n'ai pas repérés.
Pas de "chopin" sur leurs stands ! J'ai acheté malgré tout un tire-bouchon danois, un autre petit à parfum et surtout, pour mon plaisir, le coupe-muselet ou pince-champagne à ressort de Pérille, estampillé Chambre Syndicale de la Quincaillerie France, et présent dans le catalogue des Fils de Pérille dans les années 1910.
Je me suis alors tourné vers d'autres achats coup de cœur : une ancienne dague de veneur, une canne d'écrivain, du porto, de la poire, un batteur original et une belle petite bouteille oignon XVIII° siècle. Les autres achats sont ceux de mon épouse.
Les puces d'Arlon sont aussi l'occasion de se retrouver entre chineurs dans un bar de la Grand-Place autour d'un café et d'exhiber chacun à son tour ses trouvailles.
Aiguières pour Colette et boîtes à musique pour Christian, nécessaire de broderie pour Françoise et instruments de mesure pour Pierre-Michel... sans oublier les hebdomadaires et indispensables chaussures pour Eliane !
L'occasion encore de s'éterniser sur le stand d'amis brocanteurs, d'y apporter quelques victuailles et de prendre ensemble le temps d'un casse-croûte roboratif !
Les uns et les autres donnent leurs bons plans, évoquent les tendances et les prix, les ventes réalisées, se consolent ou se réjouissent en trinquant (avec modération !) d'un petit vin de soif... chacun apprend de l'autre.
Nous rentrons tous les deux, heureux de cette bonne journée !
M
Photo Internet
Cette fois, il y avait en plus le renfort d'exposants venus de loin, de Waterloo en fait (quel drôle de nom, n'est-ce-pas ?), où les puces traditionnellement organisées sur le parking d'un grand magasin ne peuvent plus avoir lieu pour cause de travaux.
Et c'est ce qui m'a fait rencontrer Charles, fournisseur bien connu de Bernard et Luc, nos amis Belges. Je ne répéterai pas ici tout ce qu'il m'a dit de la rouerie des hélixophiles...
Mais j'ai surtout le regret de m'être fait devancer de quelques poignées de secondes sur son stand par un autre collectionneur (il y en avait au moins trois en plus de moi) : le vendeur m'a dit lui avoir vendu un modèle hors du commun, "à cloche de bronze et poignée d'os comprenant une lame de couteau"... description trop sommaire pour une identification !
Toute la brocante bruissait de cette belle vente.
D'autres marchands proposant des tire-bouchons étaient là aussi : un second Belge, un Allemand, deux Français, et d'autres peut-être que je n'ai pas repérés.
Pas de "chopin" sur leurs stands ! J'ai acheté malgré tout un tire-bouchon danois, un autre petit à parfum et surtout, pour mon plaisir, le coupe-muselet ou pince-champagne à ressort de Pérille, estampillé Chambre Syndicale de la Quincaillerie France, et présent dans le catalogue des Fils de Pérille dans les années 1910.
Une petite différence : le système d'attache.
Je me suis alors tourné vers d'autres achats coup de cœur : une ancienne dague de veneur, une canne d'écrivain, du porto, de la poire, un batteur original et une belle petite bouteille oignon XVIII° siècle. Les autres achats sont ceux de mon épouse.
Inventaire à la Prévert !
Les puces d'Arlon sont aussi l'occasion de se retrouver entre chineurs dans un bar de la Grand-Place autour d'un café et d'exhiber chacun à son tour ses trouvailles.
Aiguières pour Colette et boîtes à musique pour Christian, nécessaire de broderie pour Françoise et instruments de mesure pour Pierre-Michel... sans oublier les hebdomadaires et indispensables chaussures pour Eliane !
L'occasion encore de s'éterniser sur le stand d'amis brocanteurs, d'y apporter quelques victuailles et de prendre ensemble le temps d'un casse-croûte roboratif !
Les uns et les autres donnent leurs bons plans, évoquent les tendances et les prix, les ventes réalisées, se consolent ou se réjouissent en trinquant (avec modération !) d'un petit vin de soif... chacun apprend de l'autre.
Nous rentrons tous les deux, heureux de cette bonne journée !
M
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